Les marchés d’action se sont stabilisés au mois de mai, suite à la courbe sortie par les experts en économistes, sauf la valeur technologique américaine exprimée par l’indice Nasdaq continue de se replier. Les taux obligataires se sont repliés aussi et virent en rouge, et voici les raisons de ceci.
Environnement du marché
On a un ralentissement économique en Europe, en Chine et même aux États-Unis. De façon parallèle, des taux d’inflation sont élevés un peu partout. Du côté de l’Europe, on anticipe une récession technique avec des trimestres consécutifs du repli de l’économie. En revanche, du côté des États-Unis, on a un tassement de la croissance en dessus de son rythme de compétence économique actuelle. En ce qui concerne la Chine, on constate une croissance en moyenne annuelle de 3,5 %, et c’est un niveau assez inférieur à l’année suivante, mais c’est normal à cause du COVID. Il est clair que tout le monde en profite de l’ouverture de robinet sur le credit immediat en ligne sans justificatif avec une mise en œuvre de choix du projet à financer.
Politique monétaire
Du côté de la politique monétaire, les banques centrales se concentrent naturellement sur la lutte contre l’inflation, mais également sur leur communication. Et on a remarqué que c’est la banque centrale européenne qui est dans la situation la plus délicate, parce que le conflit entre la Russie et l’Ukraine a plus de conséquences sur la zone euro. Il est donc plus judicieux que l’Europe prévoit une nouvelle stratégie politique financière à partir de 2023.
Marché financier
Les anticipations aux profits des entreprises restent encore à voir, mais selon l’avancement des choses, on est tous optimistes là-dessus. On tape une progression aux profits des entreprises américaines allant jusqu’à 5 à 9 %, et sur un profit de récession de profit sur le marché européen. Dans ces conditions, le marché de la bourse n’a pas de raison fondamentale de se reprendre. On maintient donc une position neutre pour éviter les risques, et les investisseurs sont sollicités pour diversifier leur portefeuille.
En pratique, tous les investisseurs se doivent de rester prudents sur leurs actions européennes, en revanche, on peut être plus positif sur les actions des entreprises américaines.
